SILANCE - Nouveau Genre

Tout est dans l’attitude, altière et bravache. Le regard braqué sur nous, l’artiste pose, le torse légèrement en arrière, vêtue d’un marcel et d’un pantalon de skai noir. Le visuel du nouveau single de Silance colle à l’état d’esprit de la jeune chanteuse et productrice lausannoise, mélange d’audace, de confiance en soi et de défi.

Après plusieurs EPs, où la jeune femme affirmait une personnalité fière associant poésie et introspection sur fond de rythmiques hip hop élastiques, là voilà qui déboule en force, comme régénérée.

“Nouveau genre” est le nouveau single mais aussi le titre du premier véritable album de Silance (sortie prévue le 20 janvier 2023). Il s’ouvre sur un rythme électronique carré, martial presque EBM… celui d’une foule en marche… qui peut débouler tant à cinq heures du matin en sortant des clubs, qu’en pleine journée des amphithéâtres d’université ou des écoles professionnelles.

Silance s’affiche comme la messagère d’une nouvelle génération, forte, décomplexée, ouverte au monde. Pour porter cette parole qui, comme elle le glisse dans son texte, veut inverser la tendance, la chanteuse lausannoise n’hésite pas à s’approprier le souffle des sorcières jadis brûlées parce que trop libres.

“Nouveau genre” pour nouvelle identité, celle d’une femme lesbienne et androgyne qui dans cet hymne LGBTQIA+ veut défendre tous.x.tes les laissé.es pour compte, celles et ceux qui subissent encore au quotidien les quolibets d’une minorité décérébrée.

“Nouveau genre” pour nouvelle orientation musicale. Par le passé, Silance avait privilégié des climats mid tempo, glissant ses rimes sur des productions à l’esthétique sonore héritée du slam et du hip hop old school. Aujourd’hui, l’artiste ouvre la porte à de nouvelles collaborations. Son producteur Yvan Peacemaker (Double Part, Diam’s, Booba) s’est adjoint les services du Bernois Ben Mühlethaler. Ce mixeur et producteur, qui a travaillé tant pour Prince que pour Craig David ou la rappeuse alémanique Steffe La Cheffe, a boosté le son de Silance. Plus dynamique, plus électro voire trance, l’univers sonore direct et tonique colle aux mots qui claquent. Jamais les rimes acérées de Silance n’auront été portées par un habillage sonore aussi efficace et dansant.

A la frontière du rap, de l’électro et de la chanson, l’artiste s’ouvre de nouvelles perspectives à l’instar d’Angèle, Aloïse Sauvage ou Dua Lipa, des femmes inspirées qui font fi des catégories, des normes et des codes. Plus que jamais, Silance fait mentir son nom, lançant haut et fort ses diatribes les plus enflammées.

Tout est dans l’attitude, altière et bravache. Le regard braqué sur nous, l’artiste pose, le torse légèrement en arrière, vêtue d’un marcel et d’un pantalon de skai noir. Le visuel du nouveau single de Silance colle à l’état d’esprit de la jeune chanteuse et productrice lausannoise, mélange d’audace, de confiance en soi et de défi.

Après plusieurs EPs, où la jeune femme affirmait une personnalité fière associant poésie et introspection sur fond de rythmiques hip hop élastiques, là voilà qui déboule en force, comme régénérée.

“Nouveau genre” est le nouveau single mais aussi le titre du premier véritable album de Silance (sortie prévue le 20 janvier 2023). Il s’ouvre sur un rythme électronique carré, martial presque EBM… celui d’une foule en marche… qui peut débouler tant à cinq heures du matin en sortant des clubs, qu’en pleine journée des amphithéâtres d’université ou des écoles professionnelles.

Silance s’affiche comme la messagère d’une nouvelle génération, forte, décomplexée, ouverte au monde. Pour porter cette parole qui, comme elle le glisse dans son texte, veut inverser la tendance, la chanteuse lausannoise n’hésite pas à s’approprier le souffle des sorcières jadis brûlées parce que trop libres.

“Nouveau genre” pour nouvelle identité, celle d’une femme lesbienne et androgyne qui dans cet hymne LGBTQIA+ veut défendre tous.x.tes les laissé.es pour compte, celles et ceux qui subissent encore au quotidien les quolibets d’une minorité décérébrée.

“Nouveau genre” pour nouvelle orientation musicale. Par le passé, Silance avait privilégié des climats mid tempo, glissant ses rimes sur des productions à l’esthétique sonore héritée du slam et du hip hop old school. Aujourd’hui, l’artiste ouvre la porte à de nouvelles collaborations. Son producteur Yvan Peacemaker (Double Part, Diam’s, Booba) s’est adjoint les services du Bernois Ben Mühlethaler. Ce mixeur et producteur, qui a travaillé tant pour Prince que pour Craig David ou la rappeuse alémanique Steffe La Cheffe, a boosté le son de Silance. Plus dynamique, plus électro voire trance, l’univers sonore direct et tonique colle aux mots qui claquent. Jamais les rimes acérées de Silance n’auront été portées par un habillage sonore aussi efficace et dansant.

A la frontière du rap, de l’électro et de la chanson, l’artiste s’ouvre de nouvelles perspectives à l’instar d’Angèle, Aloïse Sauvage ou Dua Lipa, des femmes inspirées qui font fi des catégories, des normes et des codes. Plus que jamais, Silance fait mentir son nom, lançant haut et fort ses diatribes les plus enflammées.